Catégorie : Parutions récentes

  • Syntaxe et évolution des superlatifs relatifs au XVIe siècle

    par David Moucaud, Université Paris III – Sorbonne Nouvelle, Langues et Littératures Françaises et Latine

    LE FRANÇAIS PRÉCLASSIQUE 22

    Editions CHAMPION ILF

    Accès à la publication en ligne (via academia.edu)

    La variété des constructions superlatives en français peut surprendre : « la ville la plus grande », « la plus grande ville », « la plus grande des villes »… David Moucaud a cherché à typer les formes et à mesurer les enjeux de cette concurrence en se concentrant sur un moment de reconfiguration syntaxique, le seizième siècle, et en s’appuyant sur un vaste corpus syntaxiquement et stylistiquement contraint par le vers. Ce faisant, il a documenté une étape du semi-figement d’un modifieur adverbial « le/la/les plus/moins », ainsi que sa rencontre avec certains marqueurs stylistiques, autour de l’influence italienne en particulier.

  • Pratiques, 191-192 « Théâtre contemporain : écritures et représentations »

    Sous la direction de Delphine Edy et André Petitjean

    Éditions du Crem

    En ligne : https://journals.openedition.org/pratiques/9418

    Intitulée « Théâtre contemporain : écritures et représentations », cette nouvelle livraison de Pratiques fait suite aux cinq volumes précédents que la revue a consacrés au théâtre et sera suivi par un prochain numéro portant sur l’enseignement du théâtre. Conformément à la ligne éditoriale pluridisciplinaire de la revue, ce présent numéro entend mettre en débat des approches plurielles d’un même objet dans sa double dimension de pratique littéraire et d’art de la scène. La première partie, intitulée « Des écritures dramatiques contemporaines : entre linguistique, stylistique, poétique, dramaturgie et ethnocritique » se veut essentiellement épistémologique au sens où elle a l’ambition de confronter des disciplines qui contribuent à la connaissance des textes dramatiques. N’ayant pas l’intention d’unifier des paradigmes théoriques différents ni de les intégrer dans un méta-cadre commun, nous assumons le fait d’avoir opéré des choix en forme de prolongement de nos recherches antérieures (essentiellement linguistique et stylistique) mais aussi d’ouverture à d’autres modes d’investigation, en particulier poétique, dramaturgique et ethnocritique. Dans cette même première partie, une place a été réservée à des études particulières consacrées à des phénomènes de langue (la ponctuation), à des analyses de l’idiolecte d’un auteur contemporain (Lagarce) ou à quelques aspects du théâtre de jeunesse contemporain. Avec la seconde partie (« Le réel en question sur la scène contemporaine européenne »), on s’arrête sur les rapports entre le texte et la scène, mais également sur les concepts de « représentation » et de « présentation ». En effet, le théâtre prend aujourd’hui bien d’autres formes que celle de la représentation scénique d’une action fictive soutenue par un texte dramatique. Cela tient au fait qu’il n’a de cesse d’intégrer les nouveaux procédés de la performance si bien que l’on rencontre dans les salles de théâtre des formes de plus en plus hybrides associant diverses pratiques et de nombreux médias. C’est pourquoi il était important de commencer par un article qui, adoptant un point de vue historique et épistémologique, problématise la notion même de mise en scène. Suite à quoi, sous la forme d’un « Dossier » puis d’ « Entretiens », sont réunis des articles qui ont en commun d’interroger ces théâtres,français et européens, qui invitent des témoins d’événements réels à relater ce qu’ils ont vécu ou d’écritures de plateau qui entremêlent parties documentaires réelles ou autobiographiques à de la fiction. Le numéro est complété par une série d’articles publiés en Varia et par des Notes de lecture.

  • Communiquer avec style, 2e édition

    La Fondation pour la langue française et les Presses de l’Université du Québec vous invitent au lancement du livre : Communiquer avec style, 2e édition.

    Le Directeur général, Martin Gélinas s’entretiendra avec l’autrice sous forme d’entrevue.

    À la rencontre, nous échangerons sur les diverses façons de nous exprimer et sur l’évolution de la langue française.

    POUR VOUS INSCRIRE

    Date : le 29 septembre 2021

    Heure : 17 h à 19 h

    Lieu : Fondation pour la langue française

    Adresse : 82, rue Sherbrooke O. Montréal

    Confirmation obligatoire : le 17 septembre 2021

    Consignes : Passeport vaccinal et port du masque obligatoire

  • Alain Rabatel, La confrontation des points de vue dans la dynamique figurale des discours

    Énonciation et interprétation

    Plutôt que d’appréhender les figures dans le cadre typologique classique des traités de rhétorique, le présent ouvrage propose une approche nouvelle de la figuration fondée sur une conception positive, textuelle, des notions d’écart et de saillance. Partant de la confrontation dialogique des points de vue pour mettre l’accent sur les objets-de-discours et les effets-de-figure qui appellent de la part de chacun une interprétation connivente de la figuration, l’auteur en décrit les fonctions représentationnelles iconiques et cognitives d’où découlent d’autres fonctions encore, symboliques et argumentatives.
    L’ouvrage revisite des figures de pensée (ironie, humour, hyperbole) et des figures de mots (lapsus, contrepèteries, à-peu-près, syllepses et antanaclases, antimétaboles, paradoxes, répétitions, créations néologiques) avant de s’ouvrir à des inédits de la problématique figurale tels que formules, reformulations et exemplifications en chaîne dont il dégage le rôle dans l’organisation des textes et des figures d’auteur (notions d’idiolecte, de style, d’éthos).
    Outre les textes médiatiques, satiriques, parodiques, poétiques et religieux où les figures abondent, le corpus comprend de nombreux genres moins connus sous cet angle tels que lapsus de courriels, devinettes, listes, litanies, etc.

    Spécialiste reconnu d’analyse du discours, Alain Rabatel est professeur de sciences du langage à l’Université Lyon 1 – Inspé, membre du laboratoire Icar. Ses travaux se signalent par leurs apports théoriques (théories du point de vue, de l’argumentation indirecte, de l’effacement énonciatif, des postures énonciatives) et par l’importance accordée aux effets pragmatiques et interprétatifs. Il fait ici le bilan des travaux qu’il a consacrés à la problématique de la figuration depuis une douzaine d’années.

  • Jean-Daniel Gollut et Joël Zufferey, La Parole stylisée

    Étude énonciative du discours indirect libre


    « Mélange de voix », « procédé littéraire », « forme de la modernité », « régime non marqué du discours rapporté », « phénomène aux frontières incertaines », « objet foncièrement interprétatif » – par ce type de jugements, qui lui sont régulièrement appliqués, le discours indirect libre est invariablement caractérisé au plan de ses effets, par principe liés à des contextes d’emploi particuliers. Dans une optique résolument différente, le présent ouvrage effectue un retour aux fondamentaux et livre une analyse de la structure interne du discours indirect libre : constituants linguistiques et fonctionnement énonciatif sont ainsi placés au centre de la réflexion.

    Sur la base d’une analyse nuancée de son système d’ancrage, le discours indirect libre est décrit – à l’encontre des conceptions théoriques et critiques actuellement dominantes – comme un dispositif énonciatif impliquant une seule voix, celle de l’énonciateur représenté. Corrélativement à cette structure univocale, une fonction spécifique se dégage : la schématisation stylisante du discours autre.

    Jean-Daniel Gollut et Joël Zufferey mènent des recherches en linguistique française à l’Université de Lausanne. Ils ont co-signé diverses publications, notamment un ouvrage consacré à la construction référentielle en ouverture de roman : Construire un monde. Les phrases initiales de « La Comédie humaine » (Delachaux et Niestlé, 2000). J. Zufferey est également l’auteur, avec Gilles Philippe, de Le style indirect libre : naissance d’une catégorie (Lambert-Lucas, 2018).


    La collection « Études linguistiques et textuelles » se veut un carrefour pluridisciplinaire de recherches centrées sur les textes et les discours, d’un point de vue linguistique, stylistique, rhétorique, poétique, discursif et didactique. 

    Pour une présentation de la collection et une consultation des numéros déjà parus, c’est ici : http://crem.univ-lorraine.fr/production/collections/etudes-linguistiques-et-textuelles

    La collection accueille des ouvrages collectifs et des monographies (y compris des essais issus de thèses, dans une version remaniée). 

    Les propositions sont à envoyer à Sophie Milcent-Lawson sophie.lawson@univ-lorraine.fr et Michelle Lecolle michelle.lecolle@univ-lorraine.fr.

    Sophie Milcent-Lawson et Michelle Lecolle, responsables éditoriales

    André Petitjean, directeur de la collection

  • Joël July, Poétique des énoncés inconvenants et paradoxaux

    L’éclat et l’énergie des énoncés inconvenants et paradoxaux tiennent à la façon dont ils attaquent soit la logique ou le bon sens, soit la civilité ou la morale, soit les deux à la fois. Subtils ou agressifs, ils interrogent et relativisent l’aspiration ou la prétention au sérieux dans la pensée. Bien qu’ils n’aient pas été toujours produits au sein de l’institution littéraire, ils apparaissent comme des manifestations particulièrement exemplaires de la créativité langagière, et à ce titre de la poéticité. C’est pourquoi les littéraires en général et les stylisticiens en particulier peuvent les considérer comme d’excellents candidats pour illustrer ce que l’art littéraire ou la fonction poétique « font » à la pensée, et ce que la pensée fait à la forme. La question clé qui sous-tendait ce 4e colloque de l’AIS (Association internationale de stylistique), qui a eu lieu à l’automne 2018 à Aix-en-Provence, engageait ainsi deux notions a priori hétérogènes : le paradoxe, notion logique bien balisée, et l’inconvenance, qui relève du jugement de valeur, de nature morale. La problématique comportait également deux aspects à l’articulation délicate : d’abord s’interroger sur les formes et les enjeux du charme de ces énoncés, aux fonctions fort diverses et qui sont inclus soit dans des textes mais détachables, soit dans des phrases sans texte au statut encore plus incertain ; mais, plus intéressant, se demander en quoi ces énoncés pourraient relancer la quête d’une définition de la fonction poétique.

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    Table des matières

    Stéphane Chaudier et Joël July : Introduction

    La cible poétique du paradoxe (Joël july)

    • Marc Bonhomme : Les paradoxes dans les slogans publicitaires. Procédés cognitifs ou accroches stylistiques ?
    • Stéphane Chaudier : La phrase qui frappe. Vers une fonction poétique renouvelée
    • Sylvain Dournel : L’amour, l’infini, les caniches. Poétique de l’antimorale célinienne
    • Sophie Jollin Bertocchi : L’énergie du paradoxe
    • Bérengère Moricheau Airaud : Le romanesque de la forme paradoxale dans l’écriture de Jean Echenoz
    • Emmanuelle Prak-Derrington : Ce que le son fait au sens. La révolution du chiasme formel
    • Judith Wulf : « Guerre à la rhétorique et paix à la syntaxe ! » Un paradoxe ?
    • Joël July : L’apotropaïque, nier l’évidence ou prévoir le pire ?

    De l’inconvenant d’être lu (Philippe Jousset)

    • Sandrine Vaudrey Luigi : Marguerite Duras, quand l’inconvenance grammaticale se fait stylème
    • Annick Jauer : La littérature selon Quignard, une rhétorique spéculative sous le signe du paradoxe
    • Mustapha Trabelsi : « Je est un autre » dans Le Bavard de Louis-René des Forêts
    • Claude Coste : Obscénité de Barthes
    • Philippe Jousset : Guyotat scandaleux ? Passes et impasses

  • Karine Germoni et Claire Stolz (dir.), Aux marges des discours rapportés

    Formes louches et atypiques en synchronie et en diachronie : cet ouvrage collectif présente une synthèse inédite sur les formes atypiques de discours rapportés littéraires, tant en syn-chronie contemporaine qu’en diachronie, et dans une pers-pective transmédiale et générique. Son objectif est d’élabo-rer une modélisation plus intégrative des discours rapportés « louches », au sens que Vaugelas donne à cet adjectif pour parler d’une construction qui trouble l’interprétation « parce qu’elle semble regarder d’un côté » alors qu’« elle regarde de l’autre ». Le livre étudie d’abord les discours directs et les dis-cours directs libres ambigus ou ambivalents dans les fictions littéraires narratives de l’extrême-contemporain, puis, plus largement, les discours rapportés atypiques dans l’histoire des formes du XVIIe siècle à nos jours, ainsi que la porosité entre usages littéraires et non littéraires – numériques notamment ; enfin, il tente de déterminer si certains genres littéraires sont plus propices que d’autres aux formes non canoniques.

  • Emmanuelle Prak-Derrington, Magies de la répétition

    Les battements du coeur, l’alternance des jours et des saisons,
    les lundis matins… Notre vie est faite de répétitions. Qu’en est-il
    de la répétition dans le langage ?

  • Parution Jean Giono. Une poétique de la figuration, sous la dir. de G. Berthomieu et de S. Milcent-Lawson

    Jean Giono. Une poétique de la figuration, Garnier, 2020

    sous la direction de Gérard Berthomieu et de Sophie Milcent-Lawson

    Table des matières


    FIGURATION ET POSTURES D’ÉNONCIATION
    Mireille Sacotte, « L’air de rien ». L’ambiguïté narrative dans Les Grands Chemins
    Ilias Yocaris, « Le bonheur d’être à la fois invisible et présent ». Sous-dires et ambivalence dans Angelo
    Julien Piat, Le ton comme métalepse. Énonciation et posture romanesques
    Alain Rabatel, Figures énonciatives de la connivence dans Les Récits de la demi-brigade

    FIGURATION ET STRUCTURES DIALOGALES
    Denis Labouret, Giono et la « méthode des bâtons rompus ». Figures et ruptures du dialogue romanesque
    Françoise Rullier-Theuret, La multiplication et l’imbrication des instances dialogales dans Un roi sans divertissement
    Laurence Rosier, La circulation de la parole dans Les Âmes fortes

    TROPES ET CONFIGURATIONS LEXICALES
    Sophie Milcent-Lawson, L’allure et l’allant. Métaphore et écriture romanesque dans Deux cavaliers de l’orage de Jean Giono
    Véronique Magri-Mourgues, Un complexe figural. Comparaison et métaphore dans la Trilogie de Pan
    Michele Prandi, « La montagne soupirait au-dessus du village ». L’essaim métaphorique du paysage animé dans Le Hussard sur le toit
    Marc Bonhomme, Les figures métonymiques dans Le Grand Troupeau de Giono
    Marc Dominicy, Il y a odeur et odeur. D’Angelo au Hussard sur le toit

    FIGURATIONS ET PATRONS SYNTAXIQUES
    Sophie Jollin-Bertocchi, Contrastes phrastiques et antithèses dans Jean le Bleu
    Corinne von Kymmel-Zimmermann, (Dés)ordres de la syntaxe dans Naissance de l’Odyssée et Un roi sans divertissement
    Marie-Albane Watine, De la sous-programmation à la multi-programmation. Deux modèles de la phrase gionienne

    CONFIGURATIONS NARRATIVES. EMPRUNTS ET INFLUENCES
    Jean-Yves Laurichesse, L’imitation créatrice chez Giono
    Laurent Susini, « Ah les salauds ! ». L’imaginaire pascalien de l’écoulement du péché originel dans Un roi sans divertissement : déplacements, diffractions
    Christian Morzewski, De l’écrit à l’oral, et retour. Avatars de la mise en récit dans Deux cavaliers de l’orage de Jean Giono
    Jacques Mény, Les avatars du narrateur dans Les Mauvaises Actions de Jean Giono

    FIGURATION ET ASPECTS DE LA CRÉATION
    Laurent Fourcaut, Je(u) et son autre dans le circuit fermé des Grands Chemins. L’écrivain et les figures de sa mise en abyme dans le discours du roman
    Alain Romestaing, Douleurs et discours à la Douloire Sylvie Vignes, Figuration de l’imagination poétique dans Colline
    Gérard Berthomieu, Jean Giono et le lieu romanesque de la « leçon de poésie ». Contribution à une poétique des transports

  • Sophie Jollin-Bertocchi et Serge Linarès, Changer de style Écritures évolutives aux XXe et XXIe siècles

    COuverture Changer de style

    Cet ouvrage, coordonné par Sophie Jollin-Bertocchi et Serge Linarès, interroge pour la première fois la pratique fréquente du changement de style chez les écrivains français depuis la n du XIXe siècle. Restituant le phénomène à son historicité, il ne vise pas à contester la notion de « style d’auteur », mais à en relativiser le caractère essentialiste, croisant la démarche stylisticienne avec d’autres approches (sociologie, poétique…). Il dessine le contexte historique et éditorial, évoque ensuite des parcours de polygraphes, appréhende la problématique sous l’angle générique (poésie, roman), met en évidence les enjeux biographiques, questionne enn les possibilités d’une permanence derrière la disparité des manières d’écrire. À l’époque moderne, avoir du style ne se limite pas à en avoir un seul.

    Le flyer joint permet de l’acquérir avec 25% de réduction.

    Références

    Editeurs : Sophie Jollin-Bertocchi and Serge Linarès
    Séries: FauxTitre,Volume:434
    ISBN : 978-90-04-41350-4
    Date de publication : 03 Oct 2019

    Table des Matières

    Notices sur les auteurs

    Introduction : Pour penser l’évolution d’un style d’auteur

    Partie 1: Angles d’approche

    1 Les êtres d’un lieu commun ? Conceptions du style de la fin du XVIIIe siècle au début du XXe siècle
    Jacques-Philippe Saint-Gerand

    2 Changement de style, changement de maison
    Olivier Bessard-Banquy

    Partie 2: Parcours de polygraphes

    3 Portrait d’auteure en démiurge polymorphe : Marguerite Yourcenar
    Bruno Blanckeman

    4 Les modulations de la représentation de discours dans l’écriture d’Annie Ernaux
    Bérengère Moricheau-Airaud

    Partie 3: Changer la poésie

    5 Recommencements poétiques
    Serge Linarès

    6 Désengagement surréaliste et dégagement d’un style chez René Char
    Stéphanie Thonnerieux

    7 Les évolutions poétiques de Genet : expérimentations stylistiques et opportunisme littéraire
    Élise Nottet-Chedeville

    Partie 4: L’évolution des romans

    8 La prose de Marguerite Duras : des styles à l’idiolecte
    Sandrine Vaudrey-Luigi

    9 Une rupture dans la continuité : Claude Simon et l’avènement du Nouveau Nouveau Roman
    Ilias Yocaris

    10 « Autant de départs, autant de styles » ? L’écriture de la phrase chez Michel Chaillou
    Pauline Bruley

    Partie 5: Style d’écriture et style de vie

    11 Crise de la foi et crise de l’écriture : mutations du style aphoristique (Barrès, Martin du Gard, Gide)
    Stéphanie Bertrand

    12 Changer de style, changer de décor, changer de peau : les mutations narratives dans l’œuvre de J. M. G. Le Clézio
    Bruno Thibault

    Partie 6: Solutions de continuité

    13 Henri de Régnier : moderne, classique, moderne classique ?
    Élodie Dufour

    14 Echenoz a-t-il (vraiment) changé de style ?
    Stéphane Chaudier

    15 Roland Barthes : le regard du caméléon
    Claude Coste

    Index